1 septembre 2007
Notre immense artiste Néjib BELKHOUJA Poème de
Notre immense artiste
Néjib BELKHOUJA
Poème de Mohsen Zoghlami
Traduit de l’arabe par Omar BEN N’IA
Des dômes des murs et des portes,
des lignes courbées ou droites.
Des lignes et des couleurs qui
racontent la Médina.
Telle (cette) Médina a veillé
la nuit pleurant Néjib qui
a aimé la Médina.
O Néjib ! si tu as quitté
son calme et sa sékina (sérénité),
par ton art,
tu demeures « présent » comme
la jeunesse, les murs et
les ruelles de la Médina.
Néjib BELKHOUJA, en campagnie de si Tahar CHERIAA
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